Aujourd’hui déjà, plus de 140 femmes sont mortes sous les coups de leurs maris, conjoints ou anciens conjoints, bien souvent car elles n’ont pas été mises à l’abri à temps et ce, malgré leurs alertes. Pour , ce chiffre traduit la persistance d’une violence de genre inacceptable dans notre société. La mobilisation de nos concitoyens le 25 novembre dernier trouve un écho dans le centre post-traumatique Citad’elles inauguré le même jour. Ce centre, unique en France, est le résultat d’une démarche de coopération entre la ville, les acteurs associatifs et les services de l’État.