Que penser, dès lors, de la nouvelle « contractualisation » qui nous est imposée pour encadrer l’évolution de la dépense publique locale à un taux annuel de 1,2%, inflation comprise, et contraint le recours à l’emprunt ? L’encadrement passera par la contractualisation forcée, le contrôle et la sanction financière. Autant le dire clairement, et c’est ce qu’ont fait ensemble les groupes de la majorité municipale, dans leur diversité : Nous n’en voulons pas !
C’est par ces propos combatifs, qu’Aymeric SEASSAU, Président du groupe Communiste et Républicain, a dénoncé lors du conseil municipal de Nantes le 09 février 2018, la mise sous tutelle des Collectivités Territoriale par l’État.